FEEL EAT Sàrl

Comme dit dans les précédents avis, l'entraide entre collègue est là, cependant, ça change constamment, le turn-over est trop important pour garder de solide base entre collègue.

J’ai connu chez FEEL EAT Sàrl un micro-management, des plannings communiqués le soir pour le lendemain, des remarques souvent dénigrantes, aucunes considérations pour les employés et surtout des produits non bio, ni suisse et pas tout fait maison ce qui m'a mis en porte à faux avec la clientèle. Une expérience vraiment très mauvaise au point que je préfère omettre cette expérience de mon CV.

Durant les années passés chez eux, le seul point positif est l'entraide entre collègue quand les patrons n'essayent pas de nous diviser. Mais heureusement qu'il y a ça pour maintenir le reste.

Durant mes années chez FEEL EAT Sàrl, j’ai relevé plusieurs axes d’amélioration. D’abord, la stabilité du personnel : en l’espace de plusieurs années, j’ai vu partir et arriver de nombreux collaborateurs, souvent sans entretien de départ ni explication formelle, ce qui fragilise la continuité du service. La communication managériale pourrait également gagner en sérénité : il m’est arrivé d’être convoqué à des réunions individuelles improvisées devant la direction, sans ordre du jour ni compte rendu, où l’on me demandait de justifier un détail opérationnel ; cette pratique entretient un climat tendu. Par ailleurs, j’ai constaté à plusieurs reprises un écart entre la promesse « 100 % suisse, bio et fait maison » et la réalité de la provenance des produits. Enfin, la pression quotidienne est accentuée par un suivi très rapproché (« micro‑management ») : corrections en temps réel sur le poste, remarques publiques lors d’erreurs mineures et objectifs modifiés au cours du service. Mettre en place des procédures RH claires (intégration, feedback, formation), communiquer de façon transparente sur l’origine des produits et instaurer un canal confidentiel pour signaler les difficultés contribueraient, à mon sens, à créer un environnement plus stable et conforme aux attentes des employés comme des clients. À ma connaissance, plusieurs anciens collègues demeurent marqués par cette expérience et hésitent encore à faire valoir leurs droits par crainte de répercussions professionnelles.